"Destin Funèbre"

Steeve se ramassa un trottoir^^j'adore

trop bien j'avoue gnarkgnark pauvre agent3 la suite la suite la suite (j'adore quand igor se prend la poubelle "j'ai mal au nez ")

CHAPITRE 6 : FRANCK MILLER

Ils furent convoqués à la première heure le lendemain matin dans le bureau du professeur, et parait-il très urgent. A leur arrivée, ils le virent assis derrière son bureau, son visage exprimait un mécontentement.

- Von Rudder : Vous savez pourquoi vous êtes ici ?

Nul ne répondit, leur employeur saisit le numéro parût de la gazette de l'université : en première page on pouvait lire comme titre "UN PROFESSEUR PARANO", suivi d'une photo en noir et blanc où l'on voyait le groupe situé devant Phantom Manor.

- Von Rudder : Je suis outré de voir cet article, c'est la risée pour moi dans cet établissement, et je ne parle même pas des preuves que vous me devez ! Où sont-elles ?

- Steeve : Nous n'en possédons pas ; rien d'anormal s'est produit et nous en sommes désolés. En revanche, nous avons pu voir qui est l'auteur de ce cliché, un jeune homme blond, en jean...vous devez sûrement connaître cette personne si c'est dans la gazette de l'école.

- Guillaume : Et nous avons essayé de l'attrapper tous ensemble, mais on n'a pas pu du fait le nombre phénoménal de visiteurs sur notre chemin.

- Von Rudder : Bolinger ! Ce ne peut être que lui. Mais il est engagé par Monsieur Miller, le directeur de l'université. Depuis que je fais ma théorie sur le manoir, il s'arrange pour me licencier, en vain ; pour le bien des élèves qu'il disait. Je vais m'entretenir avec lui ; en attrendant, vous allez rester dans les parages et si jamais il y a du nouveau prévenez-moi !

Ils acquièsent leur nouvel ordre et sortirent du bureau pendant que le professeur se rendit dans celui de son supérieur, au fond du couloir.

- Igor : Et maintenant on va rester là sans rien faire ?

- Nick : Ne te plaints pas, estime-toi heureux de ne pas être à la porte par ce prof.

- Cathy : Vous êtes un peu dur avec le petit.

- Nick : Je suis un soldat, c'est dans ma nature.

Soudain, plusieurs élèves se mirent a courir devant eux, en descendant le grand escalier pour se diriger vers la salle de projection.

- Soma : Euh pourquoi vous courez ?

- Elève : On a entendu qu'il s'est passé quelque chose de fou aux infos, alors on va voir à la télé ce que c'est.

- Guillaume : Et si on les suivait ?

- Tous : Bonne idée.

Arrivés devant la télévision, ils entendirent ceci : "Nuit tragique au parc Disneyland Resort Paris ! Un employé retrouvé mort dans l'une des attractions, pendant son service il était affecté dans le manoir hanté. Le parc a fermé ses portes pour que la police mène son enquête ; un meutrier bien caché pourrait s'y trouvé,...

- Tous : Incroyable !

Pendant ce temps, dans le bureau de Miller. Ce dernier était très intimidant du haut de ses 55 ans, cheveux gris, petites lunettes et un visage d'expression glacial quand il convoquait Von Rudder quand cela était obligatoire.

- Miller : Cette vous allez trop loin Thomas ! Vous imaginez le scandale semé dans mon établissement !

- Von Rudder : Ah quoi bon de faire cours de psychologie et métaphysique si c'est pour cacher la vérité.

- Miller : La vérité ? Je la connais bien moi, c'est vous le borné de service, voilà la vérité !

- Von Rudder : Ne voyez vous rien ? Des faits réels sont cités dans l'ouvrage, et j'ai sous mes ordres le descendant de la famille Ravenswood.

- Miller : Tssss, c'est une histoire pour raconter aux petits enfants, rien de plus ; quand à ce Steeve, il me semble louche, étant donné selon vous que la compagnie minière a fait faillite au siècle dernier, mais bon je suppose que ce ne sont que foutaises.

- Von Rudder : Je ne vous permet pas de nier des années de recherches capitales. D'ailleurs je vais mettre un projet en application : envoyer mon groupe en expédition dans ce manoir le week-end prochain, bien sûr ils auront l'équipement nécessaire pour prouver ma théorie, avec les fonds bien-sûr.

- Miller : Les fonds de...l'école ? Hors de question, ce matériel coûte une fortune...

- Von Rudder : J'ajoute que ce financement est entièrement de moi.

- Miller : Vous êtes plus borné que ce crétin de Ravenswood !...

Ils continuèrent à se disputer jusqu'à ce que...

- Miller : Soit ! Qu'ils aillent faire leur chasse aux fantômes ; mais je vous tiens responsable, si le matériel venait à être endommagé.

- Von Rudder : Marché conclu !

Le professeur sorti, Bolinger de sa cachette.

- Bolinger : Eh bien, vous savez marchander.

- Miller : Je vous somme de ne pas en rajouter ; j'ai une mission pour vous...Pour ce week-end.

Il lui tendit un trousseau de clés assez ancien, avec un sourire de fierté.

la suite la suiteeeee

Trop génial^^La suite

encore encore

Voici un chapitre un peu spécial !

CHAPITRE 7 : VENDREDI 13

Le jour J arriva enfin, c'était un vendredi 13 (pure coincidence) ; les arbres changeaient de robe de saison, le vent et la pluie entraient dans la danse effrenée de l'automne.

Mais revenons à notre situation, Miller était parti de bon matin de l'université avec son disciple Bolinger, direction le parc fermé depuis un moment, fort heureusement, l'on pouvait se rendre devant le lieu du crime en voiture, la police avait tracé une route pour garer leurs véhicules au pied du manoir.

La voiture, qui était un break noir, franchit les portes de Frontierland à une allure d'escargot, elle se fraya un chemin, dans Thunder Mesa, reconstruite comme sur le plan d'origine, jusque devant les grilles fermées de la demeure perchée sur la colline.

- Miller : Nous y sommes enfin ! Tout se passera comme prévu.

Le photographe fît une moue de regret.

- Bolinger : Je ne le sens pas vraiment ; vous ne voulez pas venir avec moi ?

- Miller : Avec grand regret je décline votre offre, vous voyez j'ai une université à charge, très important pour un directeur comme moi. Vous avez le matériel ?

- Bolinger : Tout est pris ; et si je me perds ?

- Miller : Mon garçon ! Vous êtes à deux doigts de décrocher l'article du siècle, sur le chemin de la gloire, c'est là où vous risquerez de vous perdre. N'oubliez pas, prenez-les en pleine transe, je veux de l'action !

- Bolinger : Et si jamais ils me trouvent ?

- Miller : Aucune raison du moment que vous restez caché, maintenant sortez.

Kevin obéit.

- Miller : Ah ! Encore une chose.

Il lui tendit un téléphone portable.

- Miller : Dès que vous avez du nouveau, appelez-moi ! Je viendrai vous chercher, ou ma femme ; elle ne peut plus le supporter, ce professeur hystérique.

Il fît demi-tour.

- Bolinger : C'est plus facile à dire qu'à faire, Monsieur.

- Miller : Vous êtes proche du succès, vous n'avez qu'à faire de bonnes photos.

Et la voiture partit, laissant un nuage de poussière derrière elle, et donc le jeune homme seul contraint d'entrer dans ce manoir.

Bolinger se retourna pour faire face à la maison ; par ce temps maussade, elle était inquiétante. Il ouvrit de ses mains, le portail grincant et s'engouffra dans le jardin. Quelques minutes plus tard, après avoir gravit les escaliers de pierre blanche, il se trouva devant la double porte en bois. Il sortit le trousseau de clés de sa poche.

- Bolinger : Alors...Cuisine...Solarium...Ah, Porte d'entrée.

Il la leva jusqu'à la serrure ; soudain, avant qu'il n'ait pus l'introduire, la porte s'ouvrit sur une jeune femme, blonde, vétue comme au siècle dernier, des vêtements de dosmestique. Elle lui sourit.

- Bolinger : Tiens, je croyais que cette maison était inhabitée.

- Domestique : Vous devez être Monsieur Bolinger, le journaliste j'imagine.

- Bolinger : Oui je suis Bolinger, mais comment connaissez-vous mon nom ?

- Domestique : Je vous en prie, entrez ! Vous êtes attendu.

Kevin s'exécuta et entra dans une grande salle ornée d'un double escalier dans le fond. Il se retourna pour remercier la jeune femme pour cet accueil, mais la porte se referma, toute seule, la domestique avait disparu.

Il la chercha en vain en balayant la salle du regard.

- Bolinger : Madame ? Où êtes-vous ?

En guise de réponse, il entendit sa voix lointaine, venant d'un couloir de droite.

- Domestique : Par ici, Monsieur !

Il avança dans cette direction.

- Bolinger : Madame, je crois que je vous ai perdue.

Soudain, une porte s'ouvrit tout au fonds du couloir, il continua son chemin jusqu'à l'entrée, où il pouvait voir au-dessus l'inscription suivante : "Solarium". C'était en quelque sorte une serre, un jardin d'intérieur, toutes les plantes déséchées ; sa curiosité le poussait à descendre le petit escalier de pierre et à visiter cettre pièce, il prît soin de fermer la porte derrière lui, au cas où la domestique reviendrait.

Il se fraya un chemin parmi les branches squeletiques des arbustes, la nature avait reprit ses droits en ce lieu ; il arriva au centre où se tenait une petite table en fer, où était posé dessus un service à thé ; à quoi bon attendre son hôte quand on meurs de soif ? Il prit la théière et versa le contenu dans une tasse. Mais il trouva le thé un peu trop rouge, il porta la tasse à son nez et respira l'odeur qui s'en échappait.

Oh vision d'horreur, ce n'était pas du thé qu'il s'apprétait à boire, mais du sang humain. Il laissa tomber dans un fraqua la tasse et forma une marre rouge rubis à ses pieds.

- Bolinger : Cette fois s'en est trop, je veux m'en aller !

Il recula et posa la main gauche sur une branche, et sentit un picotement, une douleur atroce ; il se retourna et vit un serpent qui venait de le mordre.

- Bolinger : Ouste ! Vilaine bête !

La victime se rua vers la porte par laquelle elle était entrée, mais fermée à clé. Le malheureux poussa de toutes ses forces et frappa à la porte.

- Bolinger : Ouvrez-moi ! Je veux sortir ! Ouvrez cette maudite porte !

La sueur gagna son front, sa main gauche vira au violet ; il rebroussa chemin vers le centre de la pièce et vit une nuée de fourmis fuyant son approche, elle auraient peur de lui, ce n'est pas normal. Il appela dans l'immédiat Monsieur Miller, mais il ne répondait pas, (car pendant ce temps, le directeur conduisait et il était évident qu'il ne pouvait répondre, en plus il écoutait de la musique, donc il n'entendait pas le téléphone sonner). Kevin reprit son souffle, dos à un arbre.

Soudain, une substance visqueuse atterrit sur son épaule gauche, il toucha l'ingrédient en question, c'était gluant et collant ; puis il fît l'erreur fatale de lever les yeux et se mit soudain à hurler à la mort avant d'être emporté par quelque chose, laissant tomber son appreil photo et son téléphone portable qui était en rappel avec Miller.

C'est une bien étrange coïncidence ton titre et la date d'aujourd'hui^^
En tout cas ton histoire est géniale ^^Bravo mille fois
Cow-Boy le roi des histoires

Toujours aussi bien on veut la suite (oui je sais je l'ai pas lu vendredi^^ bon no comment )la suite la suiteeeee

La voici, chers amis !

CHAPITRE 8 : BIENVENUE STUPIDES MORTELS

Quelques minutes plus tard, Miller finit par répondre à l'appel inscessant provenant de son téléphone portable.

- Miller : Allô ! Qui est à l'appareil ?...Bolinger, c'est vous ?

Pas de réponse, il raccrocha et se reconcentra sur la route du retour...

Pendant ce temps, au pied de l'université :

- Von Rudder : J'espère que vous êtes fin prêts.

- Steve : Ne vous en faites pas professeur, ce week-end sera prometteur, vous aurez enfin les preuves que vous attendez.

- Guillaume et Igor : Et si on ne trouve rien comme la dernière fois ?

- Von Rudder : Les enfants ! Ce manoir est une cellule endormie, il a besoin d'énergie pour se reveiller, vous êtes cette énergie, tous !

- Cathy : On a une chance de survivre ?

- Steve : Les recommandations sont vitales, nous resterons ensembles et Nick pourra nous aider.

- Nick : Yep ! On ne me la fais pas à moi, du mort je vais le rendre encore plus mort !

- Victor : Tant qu'il nous prend pas pour cible...

- Mina : Nous allons prendre un grand risque.

Seul Soma demeura silencieux comme une tombe.

- Von Rudder : Bon ! Il est temps que vous y aller. Si besoin est, appelez-moi sur ma ligne directe.

Le petit groupe monta à bord d'une sorte de camionette assez spacieuse ; Steve était assis à la place du chauffeur, Nick à ses côtés, les autres sur les deux rangs de derrière. Ils quittèrent la capitale en prenant l'autoroute et furent sur place quarante minutes plus tard. Le véhicule s'arrêta devant les grilles fermées du manoir ; ils restèrent de marbre...

- Cathy : C'est drôle, on dirait qu'elle nous regarde, la maison.

- Nick : Elle nous regarde.

Il tourna la tête vers le chauffeur.

- Nick : Steve ?

Mais ce dernier semblait être plongé dans ses pensées, il fixait le tableau de bord de la camionnette ; en vérité il remettait en souvenir son enfance, la première fois qu'il entrait dans la demeure familiale avec sa mère, la peur le prenait en chasse, comme être poursuivit par son pire ennemi. Mais il se souvint surtout de sa rencontre avec la défunte Mélanie dans le grenier, se cachant de Phantom...Il reprit ses esprits au bout de cinq minutes.

- Nick : Steve ?

- Steve : Pardon ?

- Nick : Restez avec nous.

- Steve : Excusez-moi.

La grille s'ouvrit et le véhicule entra dans le jardin laissé à l'abandon. La petite troupe sortit au dehors, à l'air froid et humide. Tous avaient une valise à la main, car il était prévu de passer deux nuits dans le manoir, le nécessaire vital dedans ; sauf pour Nick qui avait emporté des munitions à la place de son pyjama...

Ils marchèrent jusqu'à l'entrée de la maison, la peur en eux ; mais leur attention se porta sur un message inscrit en lettres sanglante à leurs pieds.

"BIENVENUE STUPIDES MORTELS".

ils vont souffrir^^ vivement la suite

Génial j'adore!!!Bravo bravo

J'ai rattrapé mon retard et j'ai tout lu ! Merci, Cowboy !

Voilà le chapitre, avec un jour de retard.

CHAPITRE 9 : MAISON A VISITER (PART 1)

Ils avaient la nausée en voyant ces lettres rouge sang ; et pourtant il fallait surmonter cette vision morbide et entrer. Steve pris la clé de cette double porte et la tourna dans la serrure. La porte fût ouverte tout doucement.

- Steve : Bienvenue dans ma famille. Restez près de moi.

- Nick : Vous êtes déjà venu ici, n'est-ce pas ? Qu'avez-vous vu au grenier ?

Comment était-il au courant ? Steve n'avait juste penser à ceci dans la camionnette. Qui était réellement Nick Hardaway ?...

- Steve : Suivez-moi.

Ils entrèrent dans la grande salle, ornée d'un double escalier (voir zone d'embarquement de l'attraction). Arrivés au centre, plusieurs chemins s'offraient à eux.

- Guillaume : Où allons-nous ?

- Cathy : Mr Ravenswood ?

- Steve : Nous allons commencer par le solarium.

- Soma : Attendez, j'ai l'impression que l'on nous observe.

Et il avait raison, quelqu'un les observait du haut de la grande salle, mais invisible à leurs yeux.

- Mina : Ca me donne la chair de poule cet endroit.

- Soma : Je veille sur toi.

Ils se dirigèrent vers la fameuse pièce, entrèrent à l'intérieur et virent le paysage macabre de la plantation.

- Steve : C'était l'une des salles favorites de grande tante Mélanie, elle y passerait encore des heures si elle était parmi nous ; mais un jour, l'un des jardinier trouva la mort ici, mordu par un serpent venimeux, le cadavre complètement déséché. Ah non c'est pas vrai !...

Il vît sur le sol un téléphone portable.

- Igor : Quelqu'un est venu ici, on dirait.

- Victor : Sans doute le gardien.

- Steve : Il n'y a pas de gardien ici. Je vais voir quel est le dernier numéro composé.

Voici ce qu'il entendit : "Bonjour, vous êtes bien sur la ligne privée de Franck Miller, je ne suis pas là pour le moment, veuillez laisser un message et je vous rappelerai dès que possible BIIIIIIIIIIIIIIIIIP"

- Steve : Mr Miller, c'est Steve Ravenswood à l'appareil ; j'ai en main un objet vous appartenant et je pense que votre disciple est caché ici sous vos ordres ; mais ne vous en faîtes pas, nous allons le trouver et vous le renvoyer dans l'immédiat car il y a atteinte à vie privée. Passez une excellente journée, à bientôt !.

Il raccrocha, les autres applaudirent.

- Nick : Vous avez le chic pour relever le niveau.

- Steve : Trève de plaisanterie, nous allons dans la cuisine.

Ils rebrousèrent chemin en direction de la cuisine qui était juste à côté. A leur arrivée. Soudain, ils entendirent des bruits de pas à l'étage supérieur.

- Guillaume : Je ne me sens pas très rassuré.

Toujours génial pas grave pour le retard t'inquiete pas (c'est la faute au patron si tu vois ce que je veut dire ) j'espere que j'aurais plein de suite à lire samedi prochain à mon retour de vacances

Trop génial la suite!!!!T'inquiète pas pour le retard

Ca me rassure.

CHAPITRE 10 : MAISON A VISITER (PART 2)

Le bruit cessa bruquement.

- Guillaume : C'était quoi ?

- Steve : Nous le saurons une fois que nous monterons à l'étage.

- Mina : Il y a eu une tragédie dans cette cuisine ?

- Steve : Non, ici je ferai office de cuisinier ; autrefois j'ai aidé mes parents lorque de la famille venait.

- Nick : Pourrai-je vous aider dans cette tâche ?

- Steve : Volontiers. A présent suivez-moi.

Ils revirent dans la grande salle et emprutèrent le couloir d'en face, jusqu'à un escalier en colimaçon.

- Steve : Je vous conseille de pas courir, ces marches sont en mauvais état.

- Victor : Pas de rénovation ?

- Steve : Le manoir est d'origine, tout a été reconstruit avec les mêmes pièces.

Ils montèrent les 78 marches pour arriver au premier étage, sur un couloir bifurquant à droite : une grande allée de chambres s'offrait à eux et tout de couleur rouge sombre, tous avancèrent jusqu'à tomber sur un portrait représentant un homme, il avait une allure sinistre.

- Soma : Qui est-ce ?

- Steve : C'est Henri Ravenswood, l'un des fondateurs de Thunder Mesa et ancien propriétaire de la Big Thunder Mining Company, une explosion sur Big Thunder Mountain a causé sa mort, celle de son épouse également, leurs tombes sont dans le cimetière avoisinant.

Soudain, retentit un chant mélanconlique d'origine féminine.

- Steve : Cathy, Mina, cessez immédiatement !

- Cathy : Mais nous ne chantons pas.

La voix mélodieuse semblait se rapprocher ; et soudain, révélation : une jeune femme, en tenue de mariée, sortit d'une des chambres, un chandelier à la main. Elle s'arrêta un moment pour les regarder d'un air triste, puis continua son chemin vers une chambre, en traversant la porte. Ils venaient de voir un fantôme et pas n'importe lequel, Mélanie Ravenswood, la défunte qui hante toujours ces lieux.

- Steve : Ainsi donc elle est venue, la demeure familiale est sacrée pour grande tante, mais j'espère que lui est resté sur les terres brunes.

- Igor : Qui donc ?

- Nick : Phantom !

La foudre se déchaîna dehors et la pluie commença à tomber. Ils continuèrent d'avancer, sans se soucier que le portrait d'Henri fût remplacer par celui d'un squelette vêtu de noir, qui les suivait du regard.

Au fond du couloir, six portes de différente couleur (bleu, vert, or, rouge, mauve et gris) leur faisait face.

- Steve : Voici les chambres qui nous seront destinées, faîtes votre choix.

- Mina et Cathy : Nous dormirons dans la chambre dorée.

- Guillaume et Igor : La bleue pour nous.

- Soma : Je prendrai la rouge.

- Victor : La grise me plaît.

- Nick : Si cela ne vous dérange pas, je choisis la verte.

- Steve : Je prends la dernière de disponible. Le soleil se couche prenez un peu de repos avant le dîner, je vous appelerai.

Ils entrèrent dans leur chambre réspectives, mais quelque chose s'approchait, telle une vague de ténèbre prête à se nourrir de chair fraîche, dans ce couloir, de plus en plus obscur.

Henri Ravenswood qui se transforme en squelette
Trop génial

Vous ne vous y attendiez pas.

CHAPITRE 11 : A TABLE !

La nuit était tombée sur le parc, le manoir était dépourvu d'électricité, seuls les lustres et les chandeliers faisaient office de lumière tamisée. Dix-neuf heures sonna et Steve descendit à la cuisine pour préparer le dîner. Mais à sa surprise général, il était prêt.

- Steve : Nick ?

Ce dernier arriva derrière lui.

- Nick : Nous devons préparer le dîner.

- Steve : Il semblerait que vous soyez descendu pour le faire.

- Nick : Non, pas du tout ; je suis resté dans ma chambre jusqu'à que vous m'appeliez.

Les autres entrèrent dans la cuisine.

- Steve : Qui a préparé le dîner ?

Mais aucun ne se désigna, chacun étant resté dans leur chambre.

- Igor : Si je puis me permettre, cette nourriture a été conçue par quelques tours de passe-passe, la maison est hantée ; il se pourrait qu'un fantôme ait pu faire ça.

- Soma : Du poison dans les plats !

- Mina : Comment en être sûr ?

- Guillaume : Quelqu'un doit se désigner pour goûter.

Visiblement, personne ne voulait prendre cette initiative. Mais dans une volonté de fer, Nick s'y colla.

- Nick : Si je meurs, vous serez fixés.

Et il plongea une cuillère dans la soupe encore chaude, la porta à ses lèvres et en avala le contenu.

- Cathy : Alors ?

- Nick : C'est une soupe aux poireaux, rien de plus.

- Victor : Dans ce cas pouvons-nous enfin passer à table, Mr Ravenswood ?

- Steve : Je crois que Nick a été convainquant, prenez place autour de la table, je vous prie.

Ils dînèrent copieusement, la nourriture excellente, tout le monde était ravi de ce repas mystère. Mais il semblerait que Nick fît un signe de satisfaction en clignant de l'oeil vers une porte entre-ouverte. Quelqu'un lié avec le tueur, mais qui ?

J'aurais bien voult voir qu'est-ce qui se serait passer si y avait eu du poison
Nick qui fait un signe de satisfaction et qui se porte volontaire pour goûter la soupe
J'attends avec impatience la suite

Ca donne faim ce chapitre Toujours très bien la suiteeeeeeeee

La voici enfin, après une longue inactivité de ma part et je m'en excuse.

CHAPITRE 12 : LA PETITE FILLE

Ce n'est que lorsque 23h30 sonna sur la pendule de grand-père que tout le monde se retira pour aller se coucher.

Nick était de garde cette nuit, il resta donc dans le couloir menant aux chambres colorées. Tous les autres s'endormir profondément.

Minuit sonna !

Pendant qu'il arpentait le couloir, arme en main, Nick aperçut soudain devant lui une petite fille. Elle avait les cheveux noirs de jais et vêtue d'une robe orangée, du XIXe siècle ; et elle lui souriait, comme si elle était heureuse de le voir.

- Nick : Salut gamine ! Ne devrais-tu pas être au lit ?

Elle se contenta de rire, puis disparut dans le couloir.

- Nick : Damned ! Reviens ici !

Et une longue course poursuite commença dans le manoir, cela dura près de 2 heures. Il était à deux doigts de l'attrapper lorsqu'un bibelot en porcelaine s'éleva et se brisa sur sa tête. Nick perdit connaissance pendant un moment.

Lorsqu'il revint à lui, la première chose qui lui venu à l'esprit fût son communicateur, pour appeler son correspondant mystérieux.

- Nick : Loup à Ours, je répète, Loup à Ours ; Hammer tu me reçois ?

- Hammer : Oui, 5/5 ! Que se passe-t-il, mon vieux ?

- Nick : Je faisais mon tour de garder pour protéger le groupe, quand soudain il y avait cette mome, fringuée à l'ancienne, qui se tenait devant moi. J'ai décidé de la suivre, mais elle était plus rapide que moi ; et au bout du coup, on m'a frappé avec un vase sur la tête.

- Hammer : Eh ben, le loup n'est pas aussi stratégique que l'on croit.

- Nick : "Très drôle" ! En attendant tu ferais mieux de surveiller les autres de ton côté.

Il mît fin à la conversation et se releva.

C'est alors que le chant mélancolique retentît à nouveau, Nick pouvait l'entendre de loin, mais il semblerait que cela se rapproche vers lui. Le garde du corps prît la décision d'aller s'enfermer dans sa chambre, avant que l'apparition de la défunte ne le rattrappe.

It's very good.J'attends la suite avec impatience

J'ai rattrapé mon retard lol toujours très sympa vivement la suite

CHAPITRE 13 : NE DORMEZ QUE D'UN OEIL

3h30, la pluie s'abattait sur la vieille bâtisse dans un fracas tel une avalanche de rochers ; la foudre pour accompagner le tout...

Guillaume n'arrivait pas à dormir, cette chambre n'était pas la sienne, il ne pouvait y trouver la tranquilité du repos. Sur le lit adjacent, Igor somnolait et ronflait de temps à autres.

- Guillaume : Je ne tiendrai jamais, pauvre de moi.

Il se leva et se dirigea vers la fenêtre pour tirer les rideau rouge sang afin de voir au dehors. L'obscurité totale mis à part une vision effrayante, des silhouaites dont la chair tombait en lambeau arpentaient le cimetierre avoisinant avec une lenteur d'escargot ; pire encore, des ossement humains se tenaients debout avec toutes sortes d'épées et de lances ; une armée de morts qui les attendait de pied ferme.

Guillaume eut l'impression qu'ils le fixait mais il ne put s'empêcher de crier lorsqu'une main se posa sur son épaule droite.

C'était Igor.

- Igor : Tu n'arrives pas à dormir ? Qu'est-ce que tu regardais par la fenêtre ?

- Guillaume : Ils nous attendent dehors pour nous tuer !

- Igor : Qui ça ils ?

- Guillaume : Les morts sans repos !

Igor regarda à son tour. Personne au dehors.

- Igor : Je ne vois rien, tu es sûr de ce que tu as vu ?

- Guillaume : Mais oui, je ne suis pas fou.

-Igor : Je me le demande parfois ; tu as dû rêver et tu ferai mieux de dormir.

- Guillaume : Non je vais en parler tout de suite à Steve.

Et il se précipita vers la porte pour l'ouvrir ; Igor essaya de le rattrapper mais trébuchat sur un objet, un appareil photo pour être précis. Il était écrit sur le côté : appartient à Kevin Bollinger.

- Igor : Oh je suis tombé sur le trésor du journaliste que l'on recherche ; il ne doit pas être bien loin, mais en attendant je vais prendre une photo de moi dans cette chambre.

Ce fût la dernière chose qu'il fit.